Une après midi bien tranquille } PV Carter

Je me surpris entrain de rêver sur mon canapé beige qui se trouvais contre la baie vitrée de ma chambre . Je regardai lentement et scrupuleusement les gens grouillant de droite à gauche de l’immense allée qui se trouvais en bas de mon appartement . Cette allée ornée d’arbres et de lampadaires ne se terminait que bien plus loin que je ne pu le croire, le parc ne se trouvait guère plus loin . . Une envi me pressa l’esprit . Pourquoi ne pas aller se promener dans cet endroit qui pour moi étais étranger . Je trouvais les parcs ennuyant a mourir , rien ne mis poussa . Les gens qui passent leur moitié du temps à se prélasser au premier rayon de soleil qui apparaît , qui découvre en leur personnalité une pointe de tranquillité juste en ouvrant un livre .

Je pris mon courage à deux mains et je leva ma carcasse pour ensuite me diriger vers ma porte a moitié ouverte à cause d’un cour en d’aire survenu de la salle de bain . Je pris mon manteau ainsi que mes clefs . Les couloirs de mon appartements me semblèrent tellement longs et sinistre que je me mis a presser le pas d’avantage . L’envi d’aller prendre l’aire ne me ressemblai pas , d’ailleurs je me trouvais différent depuis quelques jours. Peut être a cause de ces multitudes de questions qui me trottent dans mon si petit cerveau .

Je repris mes esprits en quelque seconde le parc était déjà à mes pieds . Je suivis l’allée principale , et là sur un banc au loin Joyce entrain de siroter son sirop et à ses côté un magasine . Je m’approcha doucement . Une fois à sa hauteur je lui adressa bref un salut .

Salut !

Je fis surpris de voir Joyce , elle est était magnifique là sur le banc mais pourtant je luis répondis avec mon plus grand sérieux .

Sa va merci , et toi ?

Au début , pour moi Joyce était une fille parmi tant d’autre mais pourtant , par sa manière d’être elle m’attirais , mais jamais je ne lui ferais ressentir cela . Elle m’a beaucoup appris du monde qui nous entoure et j’en suis vraiment reconnaissant envers elle , mais jamais je n’avait u le temps de lui en faire part . Je ne voulais pas lui montrer que j’étais soucieux alors je sorti de mes profondes pensées et je lui jeta un sourire .

Oui je veux bien m’asseoir !! Alors quoi de nouveau depuis que l’on ne sait pas parler ?

Je ressentais au plus profond de moi comme une inquiétude, depuis tout ceux temps que l’on ne s’était pas vu , ni parler je ne savais quoi dire .
Joyce était dans ma tête une très bonne amie , mais mon cœur persistais à dire le contraire .
J’engage la conversation comme si rien ne s’était vraiment passer dans ma tête . La brise me refroidit entièrement et me remis les idées en place .

J’u bien du mal à faire croire à Joyce que tout a l’aire bien chez moi, que rien ne cloche. J’étais surpris qu’elle u autant de mal à me répondre, peut être était- elle aussi gênée de la situation. J’étais sûr que tout aller bien dans sa vie cela se voyait dans son sourire , dans sa tenue. J’étais ravis pour elle .

Tant mieux , c’est cool que tu vas bien !

Je n’arrivais pas à parler sans me gêner , pourtant se n’est pas dans mes habitudes, mais je sais pas là j’avais une angoisse . Pour enlever ce mal-être qui m’envahissais de plus en plus , Je me suis mis à penser au nombreux fou rires que j’ai pu partager avec elle . Cela me mis plus a l’aise et j’ai pu lui répondre d’un ton neutre :


Moi non plus rien n’a changé depuis .


Cette réponse aurait pu être suspecte venant de moi , mais pourtant c’était vrai, rien n’avais vraiment changé dans ma vie. J’étais toujours le même garçon , coureur de jupon, infidèle et j’en passe … C’étais peut être pour cela que rien ne me souriais dans la vie , je n’avais pas de petite amie , et d’ailleurs je n’en voulais par pour le moment .
Je repris vite mes esprit, cela était dans mes habitudes de partir dans mes pensées . Cela pouvais souvent agacer le monde .

Après que Joyce soit revenu d’une des nombreuses poubelles du parc elle m’adressa ses paroles qui m’on surpris. J’étais bloqué sur « charmant garçon« . Jamais quelque un ne m’avait dit « charmant garçon » .Avant bon aller certaines filles, pour soit disant me draguer , mais jamais cela ne m’avait attend comme aujourd’hui .
Je secoua la tête en pensant à autre chose .


Et bien pour tout t’avouer non , je n’est rien à te raconter . Mais j’aurais bien voulu savoir si tu était déjà accompagnée pour le bal de fin d’année ?

La question de Joyce me perturba quelques peu. Bien sûr que tout allais bien , enfin presque. Ces temps si je n’étais pas dans mes grands jours, enfin j’allais me ressaisir et vite.
J’aurais vraiment voulu lui racontais tout ces petits problèmes , mais je n’en trouvais plus la force alors je lui répondis simplement :


Oui bien sûr que tout vas bien !! Je suis un peu fatigué mais ne t’inquiète pas je reprendrai du poil de la bête bien vite .


Son regard me fit changer d’humeur. Alors je lui lâcha un grand sourire , pour exprimer mon amusement envers cette situation.

J’espérais vraiment que ma question pour le bal serais négative car, certes je n’attache pas vraiment d’importance pour ces bals , mais j’avais une envie fameuse d’y aller en sa compagnie.
Tout le monde parlait du bal , s’était un événement connu par tous. Quand parfois , je m’amusais à regarder les gens autour de moi , je pouvais voir sur les visages de chaque un, l’enthousiasme qu’ils portaient a cet événement quelque peu perturbant et stressant pour ma part .
Ma grande passion écouter les discutions des autres pour savoir si par hasard un ragots serai porté sur moi. Mais là tout ce que je pu entendre se sont les filles qui parlaient de leur tenue pour la fameuse soirée ou bien les mecs qui posaient la question à leur amis « et toi tu finis ou la soirée , au lit ?? » Et un éclat de rire survient.
Sa réponse me fit décrocher le cœur . J’ai tout de suite pensé que la chance s’offrait à moi. Mais je canalisa mes émotions et lui répondis :

Ah !! Comment ce fait-il qu’une jolie fille comme toi soit seul pour le bal ?


J’étais si heureux de pouvoir faire ma proposition , que je me rapprocha d’elle .


Moi non plus je n’est pas de cavalière . C’est assez drôle à dire voit tu !

Alors je pris ma plus belle voix ainsi que mon courage et je me mis à parler :

Alors puisque tu n’as pas de cavalier pour le bal. Tu voudrais me faire plaisir et être ma cavalière pour la soirée ?

Après la réponse de Joyce, mon cœur fut complètement embellis par l’idée d’être accompagner par une si belle jeune fille . J’aurais pensé que ce bal allais être vraiment plus ennuyant que intéressant mais maintenant que la réponse était oui, ce bal était devenu la soirée de l’année.
Quand elle me dit qu’elle ne s’était pas intéressait à ce sujet, je fus plus surpris qu’autre chose , et bien oui c’était une fille , alors j’aurais pensé que toute les filles adorées aller a des soirées . Enfin, je fus le plus heureux. Je me surpris encore face à ce sentiment qui était encore une fois inconnu . Et l’habitude pour moi était de ne pas faire de différence entre les filles, je n’avais aucun sentiment alors pourquoi inviter une fille quand on peut en avoir plusieurs !
Mais maintenant c’est différent, allez savoir pourquoi mais j’u l’impression que mon cœur était pris d’émotion .

Je suis ravis que tu puisse venir avec moi au bal.


Je ressenti vraiment le malaise quand je lui avais posé la question d’être ma cavalière. Sur son visage j’ai pu lire qu’elle était impressionnée de ma révélation . Oui elle n’a pas tore j’en été moi-même étonné .
Qu’elle me dise qu’elle ne peut pas me dire non , cela m’a mis chaud au cœur comme si j’étais irrésistible . Cela m’a mis de bonne humeur, ce n’est pas que je ne l’étais pas avant, mais j’avais une petite appréhension . Car si j’avis dû m’expliquer pour tout se que j’avais pu faire ou dire avant , il a bien longtemps maintenant , je pense que j’aurais été très mal à l’aise . Oui c’est vrai au fil des années je m’étais rendu compte que j’avais fait quelques heures dans ma jeunesse.

J’espère que cette soirée sera la plus merveilleuse de toute . Attention je n’est pas de mauvaise attention !!


Je rigola par cette idée farfelu .

Quand Joyce accompagna mon sourire j’en étais ravis, je sentais que cette journée aller être exceptionnel . Je voyais bien qu’il y avait un soucis , cela se voyait dans son regard , peut être était elle soucieuse pour sa tenue. C’est souvent se que les filles se posent comme question, ce que je ne comprend pas vraiment , mais bon pour moi plus elle sera belle mieux se sera. Attention je ne dis pas qu’elle n’est pas belle tout les jours , je dis juste que pour une soirée comme celle là, une tenue magnifique pour elle , sa serait encore mieux. Je souri par cette idée.
J’étais comme dans un petit nuage, mais très vite je retomba sur terre. Ma tenue ?? Et bien oui , je n’avais guère réfléchi mais il me fallais impérativement un costume , je n’allais pas i aller avec mes vieux habits de tout les jours .

Heu ma tenue ?? Et bien très bonne question. Je n’est rien alors je pense que je vais devoir aller m’acheter un costume . Je ne vais comme même pas être souillon alors que je suis accompagné par une très belle femme.

Je souri , j’adorais la faire sourire , et j’aimais par de dessous tout la taquiner avec mes sous entendu ou mes compliments.

Je regarda ma montre . Les minutes s’étaient écoulées sans même que je ne m’en aperçoive. Avec mes idées et mon envie soudaine de vouloir bouger , je me demanda si , lui proposer de faire une petite promenade a travers le parc l’intéresserait. Alors puisque je ne voulais pas la quitter comme cela, Je lui proposa avec un ton des plus charmeur, pour que bien entendu elle accepte .

Sa te dirait de faire un tour avec moi dans le parc, histoire qu’on parle encore ?

Je voyais qu’on était dans la même situation tout les deux , à croire que l’on ne sortait pas souvent. Les sorties pour moi étaient, je l’avoue , très rare. Quand je parle de sortie , c’est la vrai sorti, comme au cinéma ou à un bal. Pourtant j’aime faire la fête . Je souri à l’idée de devoir aller en ville pour choisir une tenue, j’aime bien être classe mais moi et les cravates sa fait deux , mais bon je ferais un effort je le promet .
Je vis que Joyce étais emballée par l’idée d’aller parcourir les sentier de se bon vieux parc.
Quand je l’ai vu se mettre en route , je ne pensa pas qu’elle étais aussi motivée que sa , mais sa ma fait plaisirs qu’elle accepte .


Oui ! J’arrive ! Allons nous promener ! .


Je vis par la même occasion que le temps se couvrait d’un gris que me mis un semblant de dépression . Je m’inquiéta . Pour vu que le temps ne penche pas pour la pluie , si non je serais malheureux et Joyce voudra partir et je retournerais dans mon appartement à déprimer . Alors pour vu que le temps s’éclaircis . Je me secoua la tête , mais qu’est -ce qui m’arrive, il faut que j’arrête de paniquer comme sa , et que je passe du bon temps avec elle . *non mais quel idiot*
Je me surpris à passer mon bras autour d’elle en la serrant contre moi , Je la relâcha aussitôt de peur que mon geste soit un peu trop déplacé. J’en étais gêné .

Excuse moi !! Vraiment je ne sais se qu’y m’a pris . J’espère que je ne t’est pas fait peur .


Je me suis frappé le front , je me trouvais bête et j’avais surtout peur de tout faire foirer . Je ne savais pas se qu’il m’arrivais, je me sentais tellement bien auprès d’elle .
Pour vite faire passer cette énorme bêtise j’engagea une conversation :


Et si non les cours se passe bien ?

J’étais content que Joyce ne soit pas blessée par mon geste pourtant je m’en voulais à mort . Et oui je n’avais guère l’habitude de montrer mes sentiments mais là , mon cœur à parler avant ma bouche et vraiment je croit que jamais je n’aurais étais plus sincère . La vie a fait de moi un garçon aimé de tous , enfin presque , et de quelque un qui pourrait passer pour sadique avec les filles . Cela ne m’avais jamais touché avant , mais là cela m’avait ébranlé .
Mon visage se renfermais peu à peu de peur de faire une nouvelle erreur. Alors avec mon plus grand sourire je lui adressa ces paroles :

Heureusement je n’avais aucune attention de te faire du mal ! Mais je suis vraiment désoler pour ce geste déplacé ..

Et oui maintenant mon cœur dit le contraire de mon cerveau , j’avais deux versions complètement différence alors comment faire ?
On m’a toujours appris de faire ce que mon cœur me dictait mais là, mon cerveau me disait de laisser tomber et de revenir le Carter que j’étais , et mon cœur me disait de juste laisser ce Carter tomber et d’ouvrir mon cœur et mes sentiments que je m’obstinais à déformer .
Par idée de changer de discussion ne me faisais guère plaisir car j’aurais voulu qu’elle me dise se qu’elle aurait penser de nous voir en « couple » . Oui enfin beaucoup dire , mais je ne sais pas pourquoi la solitude me pesais .

Oui c’est vrai tout va bien pour toi ? Et bien j’en suis ravis .Moi la routine , les cours ne me préoccupe pas tellement mais bon je n’ai pas changé à vrai dire.

Subitement je pressentais un malaise avec Joyce , d’un coup je la vit s’arrêter et m’adresser ses paroles . J’ouvris des yeux écarquiller , pourquoi ? Qu’est-ce que j’avais fait pour qu’elle me dise sa comme sa d’un coup ?
Je me senti coupable , vraiment minable alors je me senti obligé de répondre dans ma plus grande sincérité :

Te surprendre ? Comment sa , j’espère que se n’est pas à cause de mon geste tout à l’heure ? Si c’est le cas je m’en excuse , je t’avoue que je voulais te prouver que je t’apprécie beaucoup.

Et avec encore ma plus grande surprise je me remis à poser mes bras autour d’elle et la j’ai pris tout mon temps , je la serra et posa mes lèvres sur sa tête avec un grand sourire .

Ses paroles me plu , J’espèrerais vraiment que mon geste aussi surprenant soit- il ne lui faisait pas peur . J’étais aussi moi-même surpris , mais je ne m’avais pas senti aussi bien depuis bien longtemps . Joyce m’a paru très confiante est quand ses bras m’entouraient et me serra je me senti heureux comme jamais . Je pense que mon mal être venait de là. Depuis bien longtemps je n’étais plus le même car mes sentiments étaient confus , mais maintenant je savais plus que tout , que mon cœur était toujours pour elle et le sera toujours. Je me voilais la face de peur de paraître trop sensible mais voilà maintenant j’en suis sûr je l’aimais encore et j’espérais que s’était réciproque.
Je voyais sur son visage qu’elle était perplexe sur se que je pensais d’elle , j’aurais vraiment voulu lui faire des compliments , mais comme je ne voulais plus être le Carter d’avant , je ne voulu pas être trop brusque :

Tu est magnifique et je suis ravis que tu reste à mes côtés !! Je voulais te dire que ….

J’hésita un instant lui dire que mes sentiments sont encore présent pour elle , ou alors me ter à jamais ?
Comment faire ? Je voulais lui crier que je l’aimais et que je ne pourrais vivre sans elle mais qu’allai-elle penser de moi , de mon comportement ?
J’étais tellement indécis . Je ne voulais pas lui faire de mal , ou même la perturber . Mais temps pi je me lança avec mon plus grand courage , le même courage que l’on a quand on passe un examen :

Je croit que j’ai résolu mon problème , voilà ,mes sentiments étaient confus mais maintenant je sais .

Je m’arrêta et la pris par les épaules , je la regarda dans les yeux et je me lança :


Je sais que mon cœur sera toujours pour toi, j’ai bau me dire le contraire , je t’aime Joyce et sa rien , ni personne pourra le changer , même si je le voulais .

Je resta là , dubitatif attendant que Joyce me répondit . J’avais peur , et jamais je me senti aussi bien , car même si elle ne m’aimait plus , je lui aurait dis tout se que j’avais sur le cœur et je me sentirai mieux . Mais au mieux je pourrais , si elle veut bien , lui donner tout mon amour .
Je ne me ressemblais plus , j’avais peur !

J’espère qu’aujourd’hui je ne t’est pas dessus et que tu partage mes sentiments !

Je voulais m’enfuir pour ne pas affronter sa réponse . Mais quelque chose me disais que j’allais le regretter .

Quand elle me dit que elle aussi , partageait mes sentiments mon cœur fut rempli de bonheur , un bonheur que jamais auparavant je n’avais connu . Elle m’aimait ! Et j’étais le plus heureux du monde .
Quand elle me sauta au coup , mes bras la serra aussitôt et ne voulu plus la lâcher. Je la trouvais irrésistible, son visage s’était rempli de bonheur , un peu comme moi . Le temps me paru largement moins couvert , il me semblais même que nous étions dans une très belle journée ensoleillé.
Je m’imaginais avec elle, en couple . J’avais une envi folle de crier sur tout les toits que j’aimais cette fille et que jamais plus je ne voudrais la perdre .


Je t’aime tellement Joyce .


J’étais heureux que Joyce tenait encore à moi , qu’elle me dise que je lui avais manqué , rien ne m’avais fait plus plaisir que sa . Savoir que nous sommes aimé , je pense c’est la meilleur chose, je me surpris tout d’un coup, j’étais souriant et mon cœur était pour elle , alors qu’auparavant rien ni personne ne m’aurais touché. J’avais changé en une après-midi, à croire qu’un orage m’étais tombé sur la tête . Mais qu’est-ce que j’étais bien , plus rien n’existais autour de nous , comme si le monde avait arrêté de tourner pour nous entendre se révéler nos plus grand secret . Je devenais l’homme que j’avais tant voulu être . Et oui sous cette homme , dur , franc, insensible , se trouvait un garçon qui doutais de tout et de rien et qui rêver d’être aimé .
Mon rêve s’était réalisé grâce à elle, et jamais je ne l’aurait assez remerciée pour cela .
Quand elle me dit ses doutes , j’étais surpris qu’elle pense cela de moi. Jamais je n’avais pu penser à autre chose qu’à elle. Jamais je n’aurais voulu casser avec elle cependant une réputation à la con me tenait et ne me lâché plus . Joyce avait toujours était là dans mon cœur et même si je voulais dire aux autre que pour moi se ne saura qu’une amis , mon cœur en disait le contraire et je n’étais plus crédible .


Jamais je n’aurais voulu t’oublier Joyce , je t’aime et je t’aimerais toujours autant.


Je présentais dans son visage qu’elle était inquiète, peut-être pensait -elle que je suis encore l’ancien Carter qui fait passer de nombreuses filles sous ses draps sans aucun soucis. Mais là s’était différent , tout était différent. Je ne voulais plus être ce misérable gamin, et je ne voulais plus faire de mal à Joyce. Je voulais une relation simple mais riche en émotion, elle passera sous mes draps mais pas pour la même raison qu’avant , cette fois si sera car je l’aime vraiment et que mon cœur est pour elle . Pour cela je lui adressa ces quelques paroles qui j’aurais espéré lui fera oublier ses préoccupations :


Je te promet que j’ai changé, et jamais je ne te laisserais comme avant .Tu est plus importante à mes yeux que tout aux monde .


Quand nos deux visages se rapprochèrent l’un de l’autre , je me senti tellement bien que je me rapprocha plus vite pour enfin l’embrasser tendrement . J’étais l’homme le plus heureux du monde .