Détente par une après-midi chaude { Carter

J’étais surpris du déroulement des événements entre Joyce et moi . J’en étais ravis , rien ne me rendais plus heureux que de la savoir heureuse avec moi . Je me leva inquiet de l’heure je me précipita sur le réveil qui était, dans mes gestes non contrôlés avait fini parterre. Je pris la peine de libérer une de mes mains qui était prise dans mes cheveux . Je redressa l’appareil et vis 11 h 45 . Je m’étais laissais surprendre par mon sommeille beaucoup trop lourd en ce moment . Je me jeta dans ma douche, m’habilla avec une chemise , que j’avais repassé pas plus tard qu’hier pendant que je passais mon coup de téléphone a ma bien aimé . Je fis moi-même surpris par mes mots et je me tu pendant quelques minutes et je pris conscience que se n’étais plus qu’étrange que gênant. J’étais bientôt prêt je pris pour la première fois depuis bien longtemps , la peine de prendre un peigne et je pris mes clefs mon manteau et je partais aussitôt .

Au milieu des escaliers je me rendis compte que mon portefeuille n’était pas dans la poche que mon blouson, je tenais absolument a lui offrir un bouquais de roses rouge en guise de mon pardon pour mon retard . Je monta les marches quatre par quatre et je pris en coup de vents mon carré de cuire .

Dix minutes me fut pour arriver enfin vers le marchand de fleure . Je regarda les nombreuses présentation que ce jeune maigrichon m’offrais , puis finalement quand je posa mon regard sur la montre et que j’étais assez amusé de le voir tremblant face a mon choix je lui commanda dix roses rouge et attention leur plus belle roses . Anxieux le jeune homme me les enveloppèrent dans un papier transparent et me les donna . Il me demanda la somme pour les fleurs et je pensa que c’étais beaucoup trop chère mais mon cœur était tellement ravis de faire plaisir pour celle qui comptai le plus à mes yeux maintenant que je paya avec le plus grand sourire, chose que le vendeur doit pas voir souvent .
Je me pressa le pas pour enfin atterrir devant son entrée . Je me rhabilla machinalement et regarda mes fleurs , j’étais satisfais et je pouvait brandir mon poing sur sa porte .

Quand je vu son visage tout mon corps voulu lui appartenir pour l’éternité, elle m’embrassa sans plus attendre et je lui rendit son baiser avec autant d’amour . Quand je compris qu’elle n’était pas prête je l’aimais encore plus et acquiesça son invitation à entrer .

Ce n’ai rien ma chérie , tient c’est pour toi .

Je lui brandit mes roses avec mon plus beau sourire, j’étais heureux est pour rien au monde je ne voulu être autre part aujourd’hui qu’avec elle .

J’étais le plus heureux du monde, je voulais que cette après midi soit parfaite. Je lui rendais son magnifique sourire qui me fait encore plus craquer. Pour moi Joyce étais la femme le plus ravissante et la plus adorable qui soit dans ce monde. Je sais se qu’on penser de moi quand on me connais , j’ai étais l’affreux charmeur de ces dames avant , mais maintenant que mon cœur est pris par cette jeune femme fraîche, pour rien au monde je ne voudrais changer cela .
Je l’enlaça tendrement lui faisant ressentir tout mon amour que je portais pour elle. Je ne pouvais plus passer un seul instant sans la voir ou l’entendre. Est-ce une drogue ? Oui peut-être mais c’était une drogue magnifique.
Quand elle referma la porte et me fis rentrer je me sentis comme chez moi, alors que non et jamais je n’aurais fait comme chez moi sans qu’elle mi autorise. Mon éducation avait été très bien faite alors pour rien au monde, dès lors de notre premier rendez-vous, gâcher tout sa , je me sentais si bien .
Je lui adressa ces quelques paroles:

Merci oui ! J’espère que sa te plaît !

Quand elle parti un moment pour prendre soin des roses, comme si je lui avait donner mon cœur, elle en avait pris tellement soin, elle s’en occupait avec une grande délicatesse que je fis vite troublé.
Je n’arrivais pas à regarder autre chose qu’elle , je n’avais d’yeux que pour elle seul et cela me plaisais. Quand elle s’accroupit avec son rire que je connaissais bien , j’avais envie de la prendre dans mes bras et de ne plus jamais la lâcher.

Merci ! Ok je t’accorde deux minutes, prend ton temps. Du moment que tu me revient !

Je lui faisais part d’un grand sourire d’excitation qui voulait tout dire. Je la vit partir. Pendant ce temps je m’allongea tranquillement sur le canapé, je voulais repenser à tout se que j’allais faire et dire pendant cette journée, je repensais à si je n’avais pas , par oubli, perdu ou égarer quelque chose de très important. Je me suis pris a trembler, j’étais complètement entrain de perdre mes moyens. Qu’est-ce qui m’arrivais, je n’avais jamais autant stressé depuis très longtemps. Je secoua la tête pour me calmer et je souffla doucement pour ne pas que Joyce entende ce traque qui m’avais submerger. Je me calma, tout allait mieux à présent.
Je regarda ma montre par curiosité, et ma chérie m’apparaissais sous les yeux au même moment. JE la regarda de haut en bas et lui adressa mes plus sincère compliments :

Tu est magnifique , comme toujours !

Je lui adressa un baiser.

Non tu n’as pas était très longue , je n’ai rien vu passer. Allons y je meurt de faim! Pas toi ?

Je lui avais concocté une petite surprise qui je pense lui fera plaisir. Hier quand je lui avais téléphoné je lui avait dis que j’allais réserver au restaurant, et puis par une très grande réflexion je me dis qu’un petit pique-nique au bord de la plage serait plus romantique. Alors j’ai pris tout mon courage et je lui est préparé un pique-nique, qui j’espère était bien.
J’étais pressé, mais mon calme était revenu et je me sentais entièrement bien et heureux.

As-tu mangée belle demoiselle ? Et as- tu faim ?

J’étais super content qu’elle me dise qu’elle avait faim et qu’elle n’avait pas encore mangée, ma surprise allait se faire et j’espérais vraiment que sa lui face plaisir . Mon compliment avait affiché un sourire sur son magnifique visage qui me fascinais toujours. J’étais comme scotché devant la beauté et la gentillesse de cette femme. Je l’aimais et j’en étais plus que certains.
Pour afficher mon enthousiasme a l’idée de ma surprise je lui répondit avec une joie immense que je failli me laisser submerger par cette émotion, comme un enfant à qui on lui disait qu’il allait à euro-Disney . J’étais en quelque sorte un grand garçon qui était tellement heureux de faire plaisir qu’il sautillait partout.

Temps mieux alors si tu as faim !

Moi non plus je n’avais pas pris le temps de manger et de toute façon , elle n’allait pas manger mon pique-nique toute seul je ne trouvais pas sa forcement romantique pour un premier rendez-vous, alors je m’étais forcé à ne rien grignoter et attendre en priant que Joyce n’avait pas mangée.

Temps mieux si tu n’as pas mangée , j’ai réservé dans un restaurant très spéciale pour nous deux !

Réservé n’est pas le mot approprié, plutôt préparé par mes propres mains pas très doué pour la cuisine mais mes cours de cuisine du collège m’avait bien servit, moi qui croyais quand j’étais jeune que c’était la seul matière qui n’avait vraiment aucune importance à mes yeux et je ne voyais même pas pourquoi ils s’obstinaient à m’apprendre cette toute nouvelle matière. Et bien croyez moi, aujourd’hui j’étais entrain de prendre conscience que finalement avec un travail acharné j’étais fière de moi et j’allais faire plaisir à la femme de ma vie.
Quand elle m’adressa ses quelques paroles je fis encore plus heureux. C’était vrai que depuis notre relation on n’avait jamais pris le temps de se dire les mots principaux : « je t’aime » Ces mots n’avaient, depuis bien longtemps, sorti de ma bouche mais j’étais tellement amoureux que ce ne fut pas difficile de lui adresser des paroles qui venaient tout droit du cœur :

Je t’aime aussi ma chérie ! Je t’aime, je t’aime .

Je ne cessais de lui répéter que je l’aimais de peur qu’elle ne s’en souvienne plus, mais quel idiot de douter, bien sûr qu’elle m’aimait et cela se voyait dans ses yeux. On m’a toujours dit que les yeux son le reflet du cœur.
Quand j’u réfléchi un moment a quand remontait notre dernière dispute, cela me pris un petit moment car c’est vrai ,dés que quelque chose n’allait pas on posait tout à plat et tout repartait en ordre et on s’aimait encore plus qu’avant.
Je l’embrassa tendrement. J’étais heureux et je voulais la remercier.

Bien sûr qu’on y va !! Allez en route la plus belle !

Je l’a pris dans mes bras et au lieu de la laisser passer la porte toute seul je la porta et on passa la porte a deux. Je la reposa toute suite après la porte et je lui demanda ses clefs pour fermer. Je voulais qu’elle se repose et qu’elle ne s’occupe de rien:

Puis-je avoir tes clefs ma belle ?

J’avais aperçu sur son visage, un amusement que je prenais avec rigolade. J’aimais qu’elle me taquine et j’aimais que sa marche dans le sens inverse, je trouvais que sa nous rapprochait plus l’un de l’autre, et puis cela est important de ce détendre. J’étais heureux et elle aussi et c’était cela qui était le plus important .
Son air malicieux me faisais craquer. Elle ne voulait pas me donner ses clefs alors pour lui montrer que moi aussi j’aimais m’amuser je lui pris par mes propres moyens :

Ah oui ! C’est sûr je suis un dangereux cambrioleur fou amoureux de toi. Après si tu ne me fait pas confiance sa c’est autre chose. Mais pour l’instant…

Je lui pris au vol ses clefs tout en souriant. Je ferma la porte puis la pris une nouvelle fois dans mes bras. J’aurais voulu rester comme sa toute ma vie.
Quand je me souvenu de ses compliments , « mignon et galant » je me mis à rigoler. C’étais tout moi. J’éclata de rire puis la remercia pour ces mots si agréablement dit:

Merci pour mignon et galant, je suis flatté.

Je l’embrassa de nouveau, je ne pouvais me retenir d’être près d’elle. Ma faim se fis sentir et mon pique-nique allait refroidir ou même pire pourrir. J’afficha un sourire. Je la pris dans mes bras tout en l’enlaçant tendrement et je lui murmura dans l’oreille :

Allez ! Allons y. TU ne voudrais pas rater ma surprise?

Quand elle prononça M evans on aurait dit que j’étais déjà marier cela me fis bizarre mais mon attention ne se porta pas longue là-dessus.
C’est vrai que j’aimais faire des surprises et surtout à celle que j’aime. Je réfléchi un instant pour savoir ou serait la meilleur place pour profiter de ce moment amoureux? Je ne savais pas comment la plage se présentait alors on trouvera bien se qu’on trouvera mais bon pas devant tout le monde…et … . Je partis doucement dans mes contradictions, je me calma et doucement repris mes idées.
Nous allions y aller à pieds et pendant ce temps j’aurais tout le temps de discuter avec elle. J’étais content de passer cette journée avec elle car si non j’allais passer ma vie dans mon appart sans rien faire et rêvasser à mes idées.
Je pris sa douce main et nous nous dirigions vers la sortie, il faisait chaud et mon humeur étais à bloque alors toute était parfait de plus j’étais avec la femme de ma vie donc un vrai rêve.
Je la regarda puis adressa mes pensées :

Tu me fais confiance pour la surprise? Une fois devant la plage je devrais te bander les yeux , alors est confiance en moi.

La confiance, oui étais pour moi le plus important. J’aimais pouvoir faire confiance et être sûr qu’elle est confiance en moi.
Je me souvenu d’un coup que mon maillot était au fond de ma boîte à gans, je l’avait pris en cas ou elle aurait voulu se baigner. je l’avait poser là par inconscience, je devais avoir autre chose dans les mains qui devait se placer là dedans. Je me mis à sourire.
Je voulais lui dire tout se que j’avais sur le cœur pour qu’elle soit certaine que l’ancien carter n’existait plus. Je ne voulais pas qu’elle doute. Alors je lui demanda doucement en lui caressant la main :

J’aimerais te dire que l’ancien Carter ne sera plus jamais là, et tout ce que tu as connu avant , tu devra l’oublier. Je t’aime ma chérie et sa ne l’oublie jamais.

Notre petit jeu n’était pas fini. Elle s’amusait à parement de me vois cambrioleur. Je sourit quand Joyce me fis par de sa réponse. Elle voudrait que je lui rende plus souvent visite ? Pas de soucis avec plaisir même, sachant que je n’arrivais pas à me détacher d’elle cela ne va pas être très dur de passer du temps avec elle. Je sentais très bien qu’elle non plus ne pouvait se passer de notre relation, je lui sourit un instant tout en la regardant droit dans les yeux :

D’accord ! La cambriolé aura autant de visite qu’elle le voudra. Et ce cambrioleur ne peux plus rester loin d’elle. Et il voudrait lui dire qu’il l’aime énormément.

Je sourit , parler de soi à la troisième personne du singulier était amusant, mais surtout quand il s’agissait de nous deux, de notre relation.
Quand je vis que Joyce fis tout ce dont elle pouvait pour me mettre en confiance, cela me réjouis. J’étais impressionné qu’elle face cela pour moi. Je ne pouvais la lâcher des yeux. Je me plongeais de dans et je ne voulais plus en sortir. J’étais fan d’elle. Je sourit, je me trouvais particulièrement stupide de penser cela. Je n’étais pas être fan, mais amoureux, follement amoureux d’elle, l’idolâtrie n’avait rien à faire ici. Je baissa les yeux à terre. J’étais honteux.
Mon esprit revint sur terre pour enfin écouter attentivement ce que Joyce disait. J’étais ravis de savoir qu’elle ne voulait pas rater ma surprise, d’autant que je m’étais donné du mal.
Je la pris par la main, toujours en fixant son magnifique visage :

OK alors allons y pour ma surprise.

Je la voyait déçue par mon manque de confiance. Je douta un instant en la regardant de nouveau et voulu m’excuser. Je ne voulais pas lui montrer que ma confiance était limité. Hélas oui depuis que je suis petit la confiance a toujours été pour moi une épreuve. ET cette fois si j’espérais ne pas lui faire de mal avec ce petit des faux qui a été en moi depuis trop longtemps maintenant. Je la regarda avec des yeux qui voulaient , enfin je l’espèrais , tout dire.
Je m’excusa en la prenant dans mes bras :

Excuse moi de douter. Je suis vraiment désoler, j’espère que tu ne m’en veux pas. J’ai toujours été comme sa. Mais je sais maintenant que tu as confiance en moi et je ne te décevrai pas.

Je voulais me gifler. Non mais quel idiot ce Carter, non mais il m’a pris quoi de douter d’elle. Je voulu tout oublier. Ma confiance viendra et j’en étais absolument sûr.
Je repris mes esprits pour ensuit la suivre dans la rue. Cette rue large grouillait de monde de tout gore, Gros, petit, maigre, grand etc .. Quand nous nous embrassèrent j’avais senti en elle comme une gêne devant tout le monde. Je la regarda puis vit le rouge lui monter aux joues. Cela me fis extrêmement rire, pour moi on était un couple , alors on se comportait comme un couple. On s’en fou des regards des gens , qui des fois il faut l’avouer ne sont pas très sympa, mais bon ils fallaient que l’on passe le cap , après tout ira mieux. Je la pris dans mes bras pour la rassurer et lui chuchota à l’oreille :

Tu est magnifique. Tu t’en fou des regards des gens, moi je t’aime et c’est tout ce qui compte pour le moment ok ?

Le soleil était au rendez-vous, cela optimisait mes chances de réussir ma surprise et donc de lui faire plaisir . J’avais téléphoné un peu avant de partir ce matin aux mecs qui tiennent le snack, s’y ils pouvaient préparer l’endroit ou nous pourrions manger. Je leur avais donné les instructions et ils m’avaient promis de faire de leur mieux. J’angoissais un peu, j’espérais que cela marcherait.
On continua tranquillement le long de la rue. L’aire chaud sur nos visages me donnait confiance.
Je la pris par la taille tout en discutant :

Sa va ? Tu vas voir tu vas adorer ! Enfin je l’espère. Je nous est préparé un petit quelque chose en tête à tête , rien que toi et moi et toute une vie devant nous.

Je lui sourit. Je l’embrassa de nouveaux tout en marchant. J’étais impatient..

Quand Joyce me sourit puis reprit toute suite son sérieux j’avais une soudaine envie de m’éclater de rire. J’adorait plus que tout son sourire et je m’amusais à la faire rigoler juste pour voir son visage s’illuminer devant moi.
Quand elle me fis comprendre qu’elle ne m’en voulait pas , j’étais rassuré, je ne voulais en aucun cas lui faire de la peine ou même pire de gâcher notre rendez-vous.
Mon inquiétude était réduite à néant, alors tout allait être parfait :

Ouais t’inquiète j’ai compris. Merci je suis soulagé.

Quand elle posa ses lèvres sur les mienne le monde s’arrêta de tourner, comme si s’était la première fois que nous nous embrassions. C’était merveilleux je la serra dans mes bras aussi fort que je pouvais. Je voulais savourer chaque minutes, chaque seconde avec elle.
Je savais que Joyce était une fille très discrète et à vous avouer c’est se que je préfèrais chez elle. Avant, l’ancien Carter adorait les filles extravagantes qui parlait haut et fort sans aucune retenue maintenant le nouveau Carter , le nouveau moi, détestait particulièrement ce gore de chose. J’aimais Joyce dans son intégralité et je ne pouvais me passer d’elle. C’est assez vrai, que quand je suis en sa compagnie j’oubli très vite ou nous sommes et je me laissais emporter par mes idées, mais bon l’amour rend heureux alors c’est le principale. C’est vrai il faut faire attention, l’amour est aussi un champs miné, car dès qu’on y est entré on ne peut en sortir idem et oui c’est bien pour sa que moi Carter D. Evans j’ai changé pour ne plus rendre une fille malheureuse et me consacrer tout entier à Joyce :

OK ! Cool.

C’est sûr et certain que si je devais une seule fois aimer quelque un, mais que cette personne ne m’aimait pas je m’en rendrais malade. Ouf ! Je sortis de mes idées noir pour enfin me consacrer à ma très chère Joyce. Parfois, même assez souvent je paniquais dans certains cas, je m’imaginais le pire et j’en fis une réalité, voilà comment je me surprend à être pensif.
Je savais que ce ’’tête à tête ’’ allait la surprendre . Je n’avais guère eu l’occasion et les neurones pour faire cela avant. J’étais pressé et anxieux de savoir sa réaction :

Et oui que veux tu, je ferais tout pour te faire plaisir. En plus je n’est pas fini de te surprendre. J’espère que sa va te faire plaisir.

Je la sentais excitée comme une puce, cela m’amusais tellement que en lui tenant la main je la serra en peu plus fort pour la rassurer. Le moment était arrivé, je devais lui bander les yeux et l’amenait vers l’endroit ou nous avions prévu.
Pour rien au monde je ne divulguerais un seul indice de cette surprise. C’était pourquoi je laissa le suspense se propager en elle pour que ma surprise soit encore plus captivante :

Non aucun indice, désolé si non ma surprise n’aurait plus son charme. Et puis vu que tu est très intelligente tu aurait tout de suite devinée.

Oui c’est vrai Joyce était une fille très douée pour deviner les choses et les comprendre en un temps record. Pas besoin de s’exprimer, elle avait déjà tout compris. Avait-elle devinée que mon cœur était toujours pour elle ?Elle seul le savait.
Son air de chien battu m’attendrit et j’allais par mon inconscience divulguer un indice. Je ne pouvais pas résister à cette tête et elle le savait très bien. Pourtant je pris mon courage à deux mains et lui répondit :

Non Non pas de tête comme sa ! Il faudra attendre deux seconde que je te bande les yeux. Petite coquine , un peu plus et j’allais tout t’avouer.

Je l’arrêta aussitôt, puis me tourna vers elle, pris un bandeau rouge dans ma poche arrière. Je lui posa délicatement puis lui repris sa délicieuse main. Je lui adressa d’une voie douce :

Tu dois maintenant me suivre …

Je ne savais pas si elle était encore plus excité que moi mais j’étais sûr que ma surprise allait la réjouir.
Je l’amena doucement vers l’endroit. Comme je l’avais suggéré, l’endroit était parfait pour notre pique-nique en tête à tête. Une grande toile blanche était posée sur le sol à l’ombre de grand arbres, sur celle-ci des roses rouges posées aux quatre bords puis au milieu des pétales de même couleurs. Des candélabres étaient posés tout autour de cette toile blanche. Notre pique-nique était délicieusement installé et nous n’avions qu’à nous assoire.
Je l’arrêta puis lui adressa :

Je compte à trois puis tu enlèvera ton bandeau Ok ? Un , Deux, Trois .

Nous étions seul dans le calme…